Poème 8 : Mélodie de la déprime II.
Poème 8
Dans le silence, mes journées défilent
Et dans ces journées
Il y a 12 mois et 365 jours de malheur,
De moral et de cœur brisés.
Ça défile dans ma conscience au fil des 8760 heures
Dans la mélancolie des pièces vides,
Dans l’amertume des cœurs déçus,
Ceux qui ont souffert.
J’aurais à dire ce que j’ai.
Ma douleur se glisse le long des heures, des jours, des mois et des années.
Elle est la bête qui ronge mes cités,
Qui le soir m’empêche de penser.
J’ai une douleur de vivre, qui te ronge dans ton âme et ton corps.
Malgré tout, j’essaie d’être plus fort.
© Geoffroy Korn Le Bars. Tous droits réservés. Ce poème ne peut être reproduit, distribué, ou utilisé de quelque manière que ce soit sans l’autorisation écrite de l’auteur