Poème 3 : Une réalité imaginative.

Un composant de la pensée nous informe du fondement de notre intelligence. Le débat du sens fait
face à la spéculation et à l’appropriation des mots. La coopération formelle amorce de l’interrogation.
L’ isolement, la solitude renforcent cette confrontation : La réalité et la création s’entremêlent par ce
besoin de définir le visible et l’invisible, et de le décrire.
Réfléchir par éléments symbolisant des émotions représentant des états psycho-physiologiques d’un
état d’esprit lié à l’environnement factoriel, nous amène à concevoir un idéal esthétique fictionnel.
Il faut croire en l’image des mots qui gravitent autour de l’espace de notre cœur. Enchaînant des
normes de bases, un service si gigantesque doit redéfinir la pluralité linguistique.
Il y a une création d’un espace spacieux au mètre carré idéal et confortable : des richesses d’espace
et de joies tournoient dans une demeure. Ils agrandissent des murs et des salles de rangement pour
stocker notre mémoire.
Il faut sortir par la porte de notre figure de vie : la porte de notre prison métaphysique.