Poème 3 : Autour de la poésie.

Danse à travers des forêts noires sans nom,
Qui de l’image ou du vers murmure des chants au rêveur en action,
Minutieusement perdu sur les chemins sans réelle destination,
Dans les astres célestes qui te guident sur le sentier du crépuscule de la vie,
L’enchantement de l’élixir et de son fluide coule aux abords des récifs souterrains,
Sous la lumière de demain.

Plus longtemps que jamais j’ai combattu la dépression et l’ennui pour ne pas m’enfoncer dans le vide
de la tristesse nauséabonde.
L’arme de la paresse est de dire ce qu’il n’ y a rien à faire, rien à dire d’ennuyeux.
Et toi, comment vas-tu ? Comment se porte ton moral ? Celui qui te pousse à vivre…

Je n’en ai pas fini de faire couler le vers à la lisière de la clairière du récit.