Poème 13 : Promenade.

Poème 13

Le soleil resplendit dans la clarté de l’automne.
Je me promène dans un chemin à part,
Où se reproduisent aux alentours la flore et la faune.

 

C’est si gai d’apercevoir les floraisons de la nature.
La chaleur fait couler de la sueur sur mon corps.
Je transpire avec elle en amour et en vie,
En trépassant le sacre de l’honneur.

 

J’ai fabriqué un message qui rumine mon esprit :
De loin encore, mes ailes battent vers le ciel,
Où de là-bas, je vole telle une hirondelle,
Caressant la majesté des cieux nuageux ;

 

Je perçois les sommets des monts radieux.   
Un éclair file dans la marée céleste.
Il n’y a plus de cheval ailé qui trace,
Telle une flèche filant droit vers l’espace,
Au-delà de l’atmosphère conquérir d’autres planètes.

© Geoffroy Korn Le Bars. Tous droits réservés. Ce poème ne peut être reproduit, distribué, ou utilisé de quelque manière que ce soit sans l’autorisation écrite de l’auteur.