Étiquette : ÉCRITS

Poème 9 : Chagrin nocturne Poème 9 Le silence de la nuit se muta en nénuphar argenté dans le vivier del’automne.   Je me suis destiné à corrompre le fil de l’intrépide pensée.   Je me suis noyé dans un refrain ordinaire de tendresse monotone.   Au soleil, j’étais inspiré de quelque chose qui hantait… Poursuivre la lecture Poème 1.9 : Chagrin nocturne

Poème 8 : Rêver d’aimer autre chose. Poème 8 Le cœur qui batLe cœur qui batLe cœur qui batLe cœur qui bat …   Aimer et être aiméLes sentiments n’ont qu’à dire leurs mots, leurs maux,… leurs vérités.   Aimer et être aiméJe n’ai pas de mots pour vous le crier.Une relation :Tendresse et affection se… Poursuivre la lecture Poème 1.8 : Rêver d’aimer autre chose.

Poème 7 : La vie. Poème 7 De l’éloge des citations licites,Il n’y a pas d’objection explicite. Dans la nature se propage le parfum de sa séduction. Au-delà de tout horizon s’échappent les reflets de saconception. © Geoffroy Korn Le Bars. Tous droits réservés. Ce poème ne peut être reproduit, distribué, ou utilisé de quelque… Poursuivre la lecture Poème 1.7 : La vie

Poème 6 : Le phare de la forêt. Poème 6 Je marche dans la nuit, en pleine obscurité,Et le chant des lumières pourpres s’est évaporé.   Au loin, un phare éclaire les sentiers.Je me mets à courir pour l’attraper.   Et son souvenir se met à fondre.Des milliers de grains de sable tombent sur son… Poursuivre la lecture Poème 1.6 : Le phare de la forêt.

Poème 5 : Lumière automnale Poème 5 Lorsque l’automne et son clairon sonnentDans l’ombre de personne,Arrive la tristesse monotone,Qui sonne à la porte de la solitude qui marmonne :Son doux refrain d’automne : Les arbres et la nature murmurent dans la brumeTandis que les orages et la pluie s’enfumentDans un tonnerre qui consume. L’isolement et le chagrin… Poursuivre la lecture Poème 1.5 : Un parcours de la crédibilité

Poème 4 : La tristesse naufragée Poème 4 Il est mieux d’être naïf pour ne pas être dépressif.Vivre dans un monde malade n’a ni sens ni valeur.La naïveté est un signe de bonne santé.   A posteriori, la solitude affective, et la tristesse d’être seulDans des moments d’ennui brisent les chaînes du cachet distorduDes rouages… Poursuivre la lecture Poème 1.4 : La tristesse naufragée

Poème 3 : Autour de la poésie. Poème 3 Danse à travers des forêts noires sans nom,Qui de l’image ou du vers murmure des chants au rêveur en action,Minutieusement perdu sur les chemins sans réelle destination,Dans les astres célestes qui te guident sur le sentier du crépuscule de la vie,L’enchantement de l’élixir et de son… Poursuivre la lecture Poème 1.3 : Autour de la poésie.

Poème 2 : Poésie douteuse. Poème 2 Dans l’inutile dénonciation du réel, de la mythologie du vers et des entrailles du mot sortent lestentacules de la monstruosité, sublimant le coucher du soleil exploité par le cosmos aux abords desrivières de l’infini de l’espace cosmique.   Dans le présage d’un simulacre passionnel de l’intonation, brille une… Poursuivre la lecture Poème 1.2 : Poésie douteuse.

Poème 1 : Absence de la poésie. Poème 1 La poésie m’a quitté lors d’un matin d’été. Autrefois les sensations qui guettaient mon âme se sontdésorientées de mon présent déprimant. Il n’y avait rien mis à part la torture de vivre et d’existerdans cette vie infâme du néant et du vide. Je remplissais les journées… Poursuivre la lecture Poème 1.1 : Absence de la poésie.

Poème 12 : Condition. Poème 12 Il faudrait de l’argent pour vivre et c’est travailler.Cette orientation lumineuse a été glorieusement ratée.Il est perdu dans cette méchante société.   Que pourrait-on devenir dans cette obscure réalité,Rejetant le métier d’esclave oppressé.Nous ne demandons pas à souffrir,Et malgré tout, il faut subvenir.C’est aliénant et torturant,Les choses que l’on… Poursuivre la lecture Poème 1.12 : Écrire dans un refuge au-delà.